En 2005 je signais un article dans le DDEN-INFO 93 N°10 un article « 1905, année de beaucoup d’espoir ! ou d’utopie !
Pour tous c’est l’année de la loi de séparation des églises et de l’état et l’établissement d’un état laïque, mais c’est aussi l’année du premier congrès universel de Boulogne, présidé par Zamenhof avec la naissance d’une langue internationale l’esperanto.
Quel bel espoir pour la fraternité entre les peuples qu’une « langue humainement neutre et anationale », construite, facile à apprendre grâce à une grammaire régulière.
L’espéranto est une langue vivante, pratiquée à travers le monde par de nombreuses personnes dans de nombreux domaines culturels ou scientifiques.
Rapidement accessible à tous, précis, nuancé, adaptable aux évolutions des techniques et des pensées, l’espéranto est un outil d’échange particulièrement efficace entre toutes les cultures. Neutre, l’espéranto répond aux idéaux démocratiques de dignité et d’équité, fondés sur la Déclaration des Droits de l’Homme. Pour ses valeurs humanistes il est reconnu par l’Unesco qui « note les résultats obtenus au moyen de l’espéranto dans les échanges intellectuels internationaux et pour le rapprochement des peuples. »
L’étude de l’espéranto fait aimer, facilite et accélère l’étude des autres langues. Ainsi il favorise le plurilinguisme.
Pour toutes ces raisons nous demandons que l’espéranto soit ajouté à la liste des langues admises en tant qu’option au baccalauréat.
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